Au futur...
04/01/2013
Les voici !
Les voici ces "elles" de coeur que j'avais dans la tête depuis un moment déjà. Des petits morceaux de rien, des pastilles de vie. Des sentiments communs ou plus étranges, des choses qu'on n'explique mal et que l'on se contente de vivre...simplement.
Si courtes qu'elles ne méritent qu'une vingtaine de pages, parfois moins. J'ai donc décidé d'écrire un livre d'histoires !! D'histoires courtes ! Regroupées dans un même recueil.
Mais comme je n'aime rien faire comme tout le monde je me suis compliqué la tâche ! En effet plutôt que de décrire des histoires masculines, plus simples pour moi et ma condition de mâle, je me suis penché sur le point de vue féminin ! Et oui !
Que feraient-elles dans tel cas ou tel autre, comment pensent-elles...que veulent-elles ? C'est cela que j'ai essayé de mettre dans ce dernier ouvrage.
Y suis-je parvenu ? Mystère ! Il n'y aura que les lecteurs, ou plutôt les lectrices, qui sauront me le dire....J'y ai mis ce que je sais d'elles, ce que j'en ressens, en tentant de deviner...
Alors mesdames ce livre vous est dédié, avec toute l'admiration et la délicatesse que j'ai pour vous...
Bonne lecture.
Les voici ces "elles" de coeur que j'avais dans la tête depuis un moment déjà. Des petits morceaux de rien, des pastilles de vie. Des sentiments communs ou plus étranges, des choses qu'on n'explique mal et que l'on se contente de vivre...simplement.
Si courtes qu'elles ne méritent qu'une vingtaine de pages, parfois moins. J'ai donc décidé d'écrire un livre d'histoires !! D'histoires courtes ! Regroupées dans un même recueil.
Mais comme je n'aime rien faire comme tout le monde je me suis compliqué la tâche ! En effet plutôt que de décrire des histoires masculines, plus simples pour moi et ma condition de mâle, je me suis penché sur le point de vue féminin ! Et oui !
Que feraient-elles dans tel cas ou tel autre, comment pensent-elles...que veulent-elles ? C'est cela que j'ai essayé de mettre dans ce dernier ouvrage.
Y suis-je parvenu ? Mystère ! Il n'y aura que les lecteurs, ou plutôt les lectrices, qui sauront me le dire....J'y ai mis ce que je sais d'elles, ce que j'en ressens, en tentant de deviner...
Alors mesdames ce livre vous est dédié, avec toute l'admiration et la délicatesse que j'ai pour vous...
Bonne lecture.
08/09/2012
1 an !!
L'écrit du coeur a déjà grandi et il souffle sa première bougie. Et comme un anniversaire se fête en cadeau, je vous présente mon nouvel ouvrage.
Pourquoi des comédiens n'auraient-ils pas le droit de révoquer leur metteur en scène ? Pourquoi ne pourraient-ils pas prendre la scène en otage ?
C'est sur ce point de départ que j'ai écrit cette nouvelle pièce. Sur un ton parfois décalé et loufoque, j'ai tenté de mélanger les genres et me suis permis quelques délires !
Une sorte de pièce dans la pièce ou le public est omniprésent. L'exercice était nouveau mais fort agréable pour moi !
J'ai laissé presque un an entre "11, carlton street" et "Théâtralement Votre" et puis l'écriture du dialogue m'est revenue...!
il est bien sûr disponible sur http://www.thebookedition.com/, comme les autres.
Bonne lecture et attention tout de même au coté "bizarre" de la chose !!
L'écrit du coeur a déjà grandi et il souffle sa première bougie. Et comme un anniversaire se fête en cadeau, je vous présente mon nouvel ouvrage.
Pourquoi des comédiens n'auraient-ils pas le droit de révoquer leur metteur en scène ? Pourquoi ne pourraient-ils pas prendre la scène en otage ?
C'est sur ce point de départ que j'ai écrit cette nouvelle pièce. Sur un ton parfois décalé et loufoque, j'ai tenté de mélanger les genres et me suis permis quelques délires !
Une sorte de pièce dans la pièce ou le public est omniprésent. L'exercice était nouveau mais fort agréable pour moi !
J'ai laissé presque un an entre "11, carlton street" et "Théâtralement Votre" et puis l'écriture du dialogue m'est revenue...!
il est bien sûr disponible sur http://www.thebookedition.com/, comme les autres.
Bonne lecture et attention tout de même au coté "bizarre" de la chose !!
18/05/2012
Plus encore qu'une pièce de théâtre ou quelques textes de chansons, un roman est un exercice douloureux. Oh bien sûr rien de physique là dedans ! Non ! C'est plutôt dans l'esprit, dans le coeur ou dans la recherche des mots...Il faut parfois se "dépouiller", se malmener pour trouver, trouver encore, et déposer sur le papier l'exact reflet de ses pensées. Pour toutes ces raisons je ne pensais pas pouvoir livrer un deuxième roman si tôt après le premier. Je voulais laisser du temps, comme on dit....Mais on ne va pas contre son imagination, et lorsque le sujet m'apparut, c'est tout naturellement que je me suis jeté dans l'écriture. Elle m'aura pris 9 mois, comme une grossesse !
Le titre parle de lui même et j'espère que vous prendrez plaisir à vivre les instants de vies de Valentine, François ou Sophie, à qui j'ai ordonné de mélanger leurs existences jusque dans les situations les plus incroyables. Certaines vous apparaitront peut-être étonnantes, mais les destin ne l'est-il pas lui même parfois ?
J'ai pris plaisir à les faire vivre sous ma plume, je souhaite que vous ayez le même à les voir vivre dans votre imaginaire....
merci encore.
Le titre parle de lui même et j'espère que vous prendrez plaisir à vivre les instants de vies de Valentine, François ou Sophie, à qui j'ai ordonné de mélanger leurs existences jusque dans les situations les plus incroyables. Certaines vous apparaitront peut-être étonnantes, mais les destin ne l'est-il pas lui même parfois ?
J'ai pris plaisir à les faire vivre sous ma plume, je souhaite que vous ayez le même à les voir vivre dans votre imaginaire....
merci encore.
28/12/2011
Voici donc la nouveauté du mois ! Rien de bien nouveau pour moi puisque ces textes sont écrits depuis déjà fort longtemps ! Il ne me restait plus qu'à vous en faire profiter en les glissant dans ce deuxième tome. C'est chose faite !
Je vous les livre, ce seront les derniers avant longtemps je pense, et j'espère qu'ils vous toucheront...
A très vite....
Je vous les livre, ce seront les derniers avant longtemps je pense, et j'espère qu'ils vous toucheront...
A très vite....
22/10/2011
Comme promis un peu plus haut, je vous prête ici quelques répliques de "11, Carlton street". Morceaux choisis qui je l'espère vous donneront envie.
Gillespie : Je crains que nous ne soyons partis du mauvais pied tous les deux.
Barnes : Heureux de vous l'entendre dire.
Gillespie : Si nous reprenions au début ? Je prendrai bien un scotch finalement.
(Barnes le regarde un peu surpris, puis sans rien dire, désigne de la tête la bouteille et les verres posés sur la table)
Barnes : Je vous en prie, faites ! Je vous octroie un nouvel essai. J'ai fait ça toute ma vie : faire refaire, mais je crains que cela ne change rien, pour vous.
Gillespie : Si vous partez battu d'avance...
Barnes : Jamais ! Mais je m'attendais à un John Meyers ou à un Richard Hughes pour ce genre d'exercice, je l'avoue. Des journalistes dont la réputation n'est plus à faire. Au lieu de ça vous voilà vous, illustre inconnu. Votre journal, puissant s'il en est à New-York m'avait pourtant vendu la chose comme l'évènement de presse écrite du moment.
Gillespie : Et il avait raison, ce le sera. Comme vous avez l'air de tellement y croire l'essentiel c'est vous, pas l'auteur de l'article.
Barnes : Il faut tout de même un certain métier ! Voyez vous, je déteste l'approximatif, l'amateurisme.
Gillespie : Laissez moi donc essayer et peut-être qu'au final vous ne serez pas déçu.
(Silence, Barnes réfléchit en marchant)
Barnes : Tentons cela...mais il va falloir hausser votre niveau de jeu, sinon...je coupe. Clap de fin. Sans reprise possible. Acceptez les règles ou partez tout de suite.
Gillespie : Vous bousculer quand le sujet l'imposera fera-t-il parti des règles ?
Barnes : Tout à fait, si cela concerne mon travail. Je ne vous demande pas de m'épargner ni d'être hypocrite, j'aime aussi les gens au caractère affirmé qui savent défendre leur point de vue, mais avec respect. Voilà tout. Quant aux critiques personnelles, et comme dirait Rostant par la bouche de Cyrano : " Je me les sers moi-même avec assez de verve..."
Gillespie (le coupant) : "Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve."
Barnes (après un temps et avec ironie): Vous connaissez vos classiques, voilà tout.
Gillespie : Très bien, alors j'accepte les règles. (Tout en buvant) Vous connaissez John Meyers et Richard Hughes ?
Barnes : Bien évidemment, pourquoi cette question ?
Gillespie : Vous m'excuserez auprès d'eux.
Barnes: Ironique ? J'aime aussi. J'en suis d'ailleurs un fervant pratiquant. Je sens que la partie va être fort intéressante finalement.
Gillespie : Trop d'honneur. (il fait une sorte de révérence)
Barnes : Peut-être vous ai-je sous-estimé.
Gillespie : "Peut-être" est à mon avis mal venu, je dirai "sûrement".
Barnes : Je ne demande qu'à voir.
....
Gillespie : Je crains que nous ne soyons partis du mauvais pied tous les deux.
Barnes : Heureux de vous l'entendre dire.
Gillespie : Si nous reprenions au début ? Je prendrai bien un scotch finalement.
(Barnes le regarde un peu surpris, puis sans rien dire, désigne de la tête la bouteille et les verres posés sur la table)
Barnes : Je vous en prie, faites ! Je vous octroie un nouvel essai. J'ai fait ça toute ma vie : faire refaire, mais je crains que cela ne change rien, pour vous.
Gillespie : Si vous partez battu d'avance...
Barnes : Jamais ! Mais je m'attendais à un John Meyers ou à un Richard Hughes pour ce genre d'exercice, je l'avoue. Des journalistes dont la réputation n'est plus à faire. Au lieu de ça vous voilà vous, illustre inconnu. Votre journal, puissant s'il en est à New-York m'avait pourtant vendu la chose comme l'évènement de presse écrite du moment.
Gillespie : Et il avait raison, ce le sera. Comme vous avez l'air de tellement y croire l'essentiel c'est vous, pas l'auteur de l'article.
Barnes : Il faut tout de même un certain métier ! Voyez vous, je déteste l'approximatif, l'amateurisme.
Gillespie : Laissez moi donc essayer et peut-être qu'au final vous ne serez pas déçu.
(Silence, Barnes réfléchit en marchant)
Barnes : Tentons cela...mais il va falloir hausser votre niveau de jeu, sinon...je coupe. Clap de fin. Sans reprise possible. Acceptez les règles ou partez tout de suite.
Gillespie : Vous bousculer quand le sujet l'imposera fera-t-il parti des règles ?
Barnes : Tout à fait, si cela concerne mon travail. Je ne vous demande pas de m'épargner ni d'être hypocrite, j'aime aussi les gens au caractère affirmé qui savent défendre leur point de vue, mais avec respect. Voilà tout. Quant aux critiques personnelles, et comme dirait Rostant par la bouche de Cyrano : " Je me les sers moi-même avec assez de verve..."
Gillespie (le coupant) : "Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve."
Barnes (après un temps et avec ironie): Vous connaissez vos classiques, voilà tout.
Gillespie : Très bien, alors j'accepte les règles. (Tout en buvant) Vous connaissez John Meyers et Richard Hughes ?
Barnes : Bien évidemment, pourquoi cette question ?
Gillespie : Vous m'excuserez auprès d'eux.
Barnes: Ironique ? J'aime aussi. J'en suis d'ailleurs un fervant pratiquant. Je sens que la partie va être fort intéressante finalement.
Gillespie : Trop d'honneur. (il fait une sorte de révérence)
Barnes : Peut-être vous ai-je sous-estimé.
Gillespie : "Peut-être" est à mon avis mal venu, je dirai "sûrement".
Barnes : Je ne demande qu'à voir.
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06/10/2011
La voici ! J'en ai terminé avec ma nouvelle pièce : "11, Carlton street" (prononcez eleven ce sera plus comme je l'ai pensé !). Dans quelques jours si tout se passe bien vous pourrez la découvrir sur www.thebookedition.com, comme toutes les autres.
Pour ce nouvel essai, j'ai voulu un tête-à-tête entre deux hommes, un journaliste et un metteur en scène célèbre. Une joute verbale, qui mêlera colère, rancoeur, respect et émotions. Tous les sentiments qui font les hommes, qui défont les âmes, qui gèrent le monde....Dans cet appartement new-yorkais, ils vont se livrer à un affrontement féroce pour se délivrer d'un lourd passé.
J'espère que ce nouvel opus vous attirera, voire même qu'il vous plaira ! Et peut-être que je vous en livrerai quelques extraits prochainement. A bientôt.
Pour ce nouvel essai, j'ai voulu un tête-à-tête entre deux hommes, un journaliste et un metteur en scène célèbre. Une joute verbale, qui mêlera colère, rancoeur, respect et émotions. Tous les sentiments qui font les hommes, qui défont les âmes, qui gèrent le monde....Dans cet appartement new-yorkais, ils vont se livrer à un affrontement féroce pour se délivrer d'un lourd passé.
J'espère que ce nouvel opus vous attirera, voire même qu'il vous plaira ! Et peut-être que je vous en livrerai quelques extraits prochainement. A bientôt.
20/09/2011
A l'heure où j'écris ces quelques lignes deux projets se dessinent.
L'un sera de toute évidence le tome 2 de "Chantez si vous voulez". Et le second, une nouvelle pièce dont j'ai commencé l'écriture mais dont je ne vous dirai rien, si ce n'est son titre : "11, Carlton street"
A bientôt ici même.